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jeudi 2 février 2023
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L’ensemble des salariés, administrateurs et bénévoles ont mis la main à la pâte pour concevoir ce site partagé qu’il convient désormais de faire vivre.
L’ensemble des salariés, administrateurs et bénévoles ont mis la main à la pâte pour concevoir ce site partagé qu’il convient désormais de faire vivre.
Un site internet commun. Comme une vitrine de l’ensemble de leurs ateliers. Une nouvelle porte d’entrée sur une offre d’environ deux cents activités régulières. Sans oublier les événements ponctuels. Les huit centres socioculturels niortais avaient identifié notamment durant les confinements et lors de la reprise de la vie collective, ce nouveau besoin. D’autant que leurs anciens outils se montraient plutôt désuets.
Ce samedi 1er octobre, ce sera concret bien plus que virtuel. Et il suffira de taper sur son clavier l’adresse internet csniort.centres-sociaux.fr pour découvrir la palette des rendez-vous proposés dans tous les quartiers de la ville.
« Un site construit collectivement de bout en bout »
« Notre ancien site vieillissant n’était plus adapté, notamment à l’utilisation sur les téléphones portables, explique Stéphanie Kerdoncuff, la directrice du centre socioculturel des Chemins-Blancs, entourée pour présenter la démarche d’un éventail de bénévoles, administrateurs ou salariés de l’ensemble des structures impliquées. C’est une démarche participative des huit CSC niortais qui a permis d’aboutir à ce site. Cela représente un an et demi de travail. »
Car le constat, résumé par la formule « avant en terme de communication, on était des billes » du président du CSC de Part et d’autre, Michel Francheteau, c’est qu’il convenait de se mettre au goût du jour. Tout en continuant à éditer à trois mille exemplaires, la plaquette annuelle des activités ou à accorder une place prépondérante à l’accueil en direct dans les locaux.
Tous ont mis la main à la pâte, en faisant appel pour la partie technique à un développeur travaillant pour la fédération nationale qui propose le site hébergeur, en comptant sur les services d’une personne qui s’occupe de la maintenance. « Cela s’est construit collectivement de bout en bout, avec beaucoup d’entraide et de coopération, insiste Sandrine Lacarrère, du centre-ville. Il était nécessaire d’avoir une proposition commune tout en conservant une communication de proximité. »
Des entrées par centre, par activité, par public ou thématiques, par événement, par actualité, par cartographie, des infos pratiques ou une recherche libre, des rendez-vous ponctuels ou réguliers, l’outil commun, simple d’usage, devrait répondre à tous les besoins. Au-delà de sa construction partagée, rare si ce n’est unique, il s’agira ensuite de le faire vivre, de l’actualiser chaque semaine. Et la motivation collective ne devait pas faire défaut : « Ce site est d’autant plus stimulant qu’il permet de voir ce que proposent les autres centres. » Une source d’inspiration en plus d’un outil pratique.
